myriam mehroug
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Selem aalykoum, Mes enfants ont été scolarisés pendant trois ans en maternelle et au collège dans cet établissement. Concernant le personnel enseignant, que ce soit les maîtresses ou les ATSEM, ils ont toujours fait preuve d'une bienveillance exemplaire, dont je ne peux que me réjouir. Toutefois, la véritable problématique de cet établissement réside au niveau de la direction, particulièrement celle de l'école élémentaire. Il ne suffit pas de porter le titre de chef d'établissement pour en être digne, surtout quand on fait preuve de froideur, de manque de miséricorde et qu'on ne respecte pas certaines obligations essentielles, comme celle de saluer ses interlocuteurs (en particulier dans un cadre islamique, avec un "Selem"). Madame Nait Daoud, en particulier, excelle dans la gestion financière. Elle sait parfaitement comment réclamer des sommes d'argent ou économiser sur certaines dépenses. En revanche, son savoir-être laisse à désirer. Il n'est pas rare de remettre des montants importants en espèces au secrétariat sans qu'aucun reçu ne soit fourni, ce qui a d'ailleurs poussé la DGCCRF à intervenir. Il est même arrivé que l'établissement prétende avoir perdu certaines sommes et qu'on me les réclame à nouveau, sans la moindre gêne. Et si, par malheur, vous élevez la voix pour contester une telle injustice, vous vous retrouvez rapidement dans le collimateur de la direction. Subhan'Allah, j'ai été profondément choquée de constater que LES directrices de cet établissement se sont permis d'interférer dans ma vie privée en calomniant à mon sujet auprès de mon mari et ainsi créer la fitna ! Elles tentent d'intimider les parents, exercent une pression énorme, et multiplient les menaces à travers des mails et des courriers incessants. Vous pouvez expliquer une situation en décembre, mais elles vous menacent de manière disproportionnée deux mois plus tard, en février !Même Kim Jong-Un ferait preuve de plus de miséricorde que ces personnes. Elles abusent du fait que très peu d'écoles islamiques existent en Île-de-France, créant une épée de Damoclès au-dessus de la tête des parents dès que quelqu'un ose les contredire. Sachez, mesdames, qu'alors que vous dormez paisiblement, de nombreux parents continuent de faire des douas pour demander justice face à votre injustice et votre tyrannie.Je prie Allah chaque jour, même des mois après, pour qu'Il me rende justice contre vos calomnies, vos fitnas, et toutes ces larmes versées en voyant une partie de l'éducation de mes enfants partir en fumée. J'assume pleinement mes propos, et d'ailleurs, ce n'est pas un avis anonyme.
Ces femmes respectent ceux qui sont au-dessus d'elles, mais considèrent les parents, les enfants, et même les enseignants, comme des personnes inférieures. Apaisez vos cœurs, ne méprisez pas les gens et remettez-vous en question ! Mes enfants sont aujourd'hui scolarisés dans une école publique, dirigée par une directrice non musulmane, mais dont le comportement est bien plus exemplaire que celui de certains d'entre nous. Elle porte un réel intérêt à chaque enfant et cela n’a pas de prix. C'est triste de voir à quel point vos actions entachent la communauté. Certains parents ont peur de parler par crainte de représailles. Concernant la directrice du collège, elle semble plus à l'écoute, mais selon moi, elle est malheureusement influencée de manière négative par sa collaboratrice de l'élémentaire.Madame Nait Daoud, continuez de compter les billets des parents, d'organiser des buvettes et de mener des quêtes pour financer le parc informatique, car cela, vous le faites bien ! Mais soyez transparente dans vos comptes. Laissez les parents, sans qui votre établissement ne serait rien, avoir un aperçu clair de vos finances. Ne les excluez pas sous prétexte qu'ils s'indignent d'une soudaine augmentation des frais! Peu importe la réponse que vous apporterez pour tenter de contredire ces faits, sachez que le seul jugement qui compte est celui d’Allah, azawajel. Il m’a doté d’une excellente mémoire, et je n’oublierai pas de sitôt le mal que vous m’avez fait. Selem aalykoum
