Université Paris Panthéon-Assas - Paris

Anthony F

Surtout ne vous inscrivez pas dans cette école !
Ce n'est pas une école mais une entreprise qui n'est là que pour l'argent.
L'administration est déplorable, je n'ai jamais vu ça.
Une institution qui est sencé préparer les jeunes au monde du travail en donnant un bel exemple: une incompétance totale à tous les niveaux.

Fuyez pauvres fous !

Stanislas T

Il faut être franc, le niveau de Paris II est extrêmement élevé. Tout le monde n’est pas fait pour. Il y a nécessairement une question de maturité intellectuelle, de capacité de travail et un niveau prérequis qui entrent en jeu dans l’appréciation globale de son cursus universitaire.

À titre personnel, j’y ai passé trop d’années à cause d’un manque de travail et cela m’a conduit à me limiter à un M1 Droit des Affaires. Je me suis souvent arraché les cheveux devant la quantité de travail à fournir. Il m’est arrivé de sortir de l’université à 21h55, m’endormir à 2h, revenir à 7h30… bref, autant dire qu’il faut travailler régulièrement pour éviter ces extrêmes et un certain naufrage.

Ceci étant, je réalise quelques années plus tard à quel point j’ai été chanceux d’évoluer dans cette extraordinaire institution. Et parce que j’y ai pris mon temps, j’ai « expérimenté » de très nombreux professeurs qui sont des références dans leur domaine de compétence.

Je me rappellerai éternellement de la fougue et de l’humour acéré d’Olivier Gohin, de l’expertise de Laurent Leveneur, du pointillisme chirurgical de Gauthier Blanluet, sans oublier le vénérable et bienveillant Bernard Teyssié, l’accent toulousain de Marie Hélène Monsériè-Bon, la pédagogie de Philippe Théry, les convictions de Pierre-Yves Gautier et même s’il n’a pas été mon professeur mais l’invité d’une rentrée solennelle (concours de l’université), le magistral Pierre Delvolvé. Un casting difficile à surpasser et à mon sens très proche d’être l’élite de notre nation.

Quitter cette université et atterrir dans le monde réel est difficile, surtout en partant en province. Même avec un niveau moyen à Paris II, le fossé intellectuel avec le monde qui nous entoure est si flagrant qu’on aurait presque envie de rester indéfiniment étudiant.

J’exprime ceci sans prétention aucune mais vous l’aurez compris, avec beaucoup de nostalgie.

Lorsque les attentats de novembre 2015 nous ont frappés, nous étions tous sans exception dans le hall du 92 à observer une minute de silence et chanter la marseillaise pour nos morts. Je n’aurai pas voulu être ailleurs.

La scolarité avait sans doute des horaires limités, il y a eu des problèmes informatiques de temps en temps mais rien de grave.

Les campus sont tous très bien entretenus et richement dotés, probablement au-delà de tout ce qui peut exister ailleurs. Le seul bémol serait sans doute l’acoustique du Grand Amphithéâtre au 92 mais peut être cela a-t-il été corrigé depuis.

En clair, ce sera l’expérience intellectuelle la plus enrichissante de votre vie.

an archy

Tout le monde le sait déjà mais enfonçons le clou.
Si mon commentaire ne se fait pas automatiquement supprimer par la police de Google, vous aurez la chance de lire mon avis alors écoutez une chanson qui charbonne et sortez le pop-corn.
1): cette faculté invite des cas sociaux qui gâchent mes journées dès que je les vois.
2): cette faculté crée des cas économiques qui gâchent les journées de tout citoyen.
3): vraiment ? Je préfère encore ne pas m'étendre.
4) mon commentaire va être censuré ! Triple truffe

Telephone Android

Université moyen-ageuse dans son infrastructure. On m'a obligé à payer le tarif plein (je suis boursier) au CROUS parce que Izly ne marchait pas, et avec condescendance et humeur désagréable en sus.

Bref grand établissement pas pour tout de suite.

Pierre DELECLUSE

Horaires d’ouverture de la scolarité :
Mardi à jeudi, à l’exception des mercredis.
Seulement deux heures par jour, en alternance entre le matin et l’après-midi. Mais queue de 3h00, donc ils ferment les portes d’accès au couloir tellement il y a de monde.

juliette de-l'or-yeux

Administration déplorable. La scolarité est exécrable.
Pas de réponse, l’excuse du Covid pour ne plus répondre au téléphone, il faut se déplacer. Quand vous vous déplacez les horaires sont tellement restreints que les gens ne sont pas là.

Sinon, pendant mon Master 2, j’ai subi du mépris de la part de la scolarité.
« Pt, j’ai la flemme » en soupirant quand je demande pourquoi la scolarite a suspendu ma bourse par erreur
La scolarité a aussi envoyé en août ma carte étudiante à une adresse inexistante car n’a pas saisi la bonne adresse dans mon dossier. Je me rendais à la scolarité toutes les semaines pour demander où était ma carte (car ne répondent pas au mail). Rires de la part des deux femmes, vous font attendre une demi heure plantée dans le bureau avec un regard méprisant, ricanent dans les autres bureaux. Au bout de novembre : « vous avez perdu la carte c’est pas possible ». La carte a finalement été réimprimée devant moi après de nombreux soupirs.

Très théâtrales, beaucoup de soupirs et des yeux au ciel. Bonne chance aux futurs étudiants.

Alain Yves KOUASSI ATCHIN

Lieu irréfutable de savoir mais qui a un besoin de rafraîchissement de sa façade pour le bonheur de ses étudiants

Hélène Heinry

C’est peut être la meilleure fac de droit, mais en termes d’organisation, il faudrait tout revoir. Par exemple, les élèves de 1ère année qui ont passé leur rattrapage en juillet, ont LA CHANCE d’avoir leurs résultats le 25 septembre alors que la rentrée est prévue …. le 18 septembre ! Et quand on les interpelle sur ce sujet, ils n’ont pas l’air d’y attacher une quelconque importance et répondent que les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 septembre. C’est honteux, et je pèse mes mots…. Pensez aux élèves !!